Le cours de veille proposé par le programme Master 2 en commerce et management des affaires internationales et dirigé par Monsieur Jean-Paul Pinte m’a permis de découvrir le monde immense d’information et les possibilités sans limites d’internet.

Ce cours m’a permis de faire connaissance avec des outils de recherche d’information (moteurs et méta-moteurs : http://www.copernic.com/, http://www.mamma.com/, http://www.teoma.com/, http://www.exalead.com/search, http://vivisimo.com/, http://www.kartoo.com/,  http://www.mooter.com/, http://www.altavista.com/ ) ; des agents intelligents (http://www.googlealert.com/, http://www.agentland.fr, http://www.aignes.com/, ); et autres outils comme la traduction en ligne(http://www.interglot.com/, www.foreignword.com/,  http://www.dicorama.com/ ) ; recherche des synonymes (http://www.kartoo.com/), création des logotypes (www.cooltext.com), utilisation des images (http://www.picsearch.com/, http://www.ditto.com/), l’information sur les entreprises (http://www.societe.com/,  http://www.business.com/) qui rend possible d’effectuer un travail de qualité dans le cadre de parcours universitaire.

C’est bien dommage de ne pas pouvoir aller jusqu’au bout des choses en raison des horaires limités consacrés à l’étude de cette matière car le contact direct avec l’enseignant reste indispensable.

Aujourd’hui je me sens beaucoup plus alaise quand il s’agit de la recherche d’information où il faut utiliser des sources différentes, des avis d’experts, trouver l’information très précise dans les domaines différents. Ce cours m’a donné des outils vraiment utiles et montré l’ampleur des possibilités que propose Internet aujourd’hui .

A l’attention de Monsieur Jean-Paul PINTE

Enseignant – Chercheur

Institut des Sciences Economiques et du Management

Université des Sciences et des Technologies de Lille (Lille1)

Période de veille Octobre 2005 - Janvier 2006

Moteurs et Meta-moteurs:

Msn, google, yahoo, teoma, mamma, exalead, kartoo, vivisimo, altavista

Images:

picsearch, ditto, yahoo images

Agents d'automatisation et alert

Google alert, websitewatcher

Utilisation de : www.kartoo.fr

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Dans la conclusion il me paraît nécessaire de revenir sur les problématiques du secteur pétrolier au Kazakhstan. La plus grande difficulté réside dans le fait que les intérêts des plusieurs pays sont en jeux (le Kazakhstan, la Russie, l’Azerbaïdjan, le Turkménistan et l’Iran),  notamment quand on parle des gisements off-shores de la mer caspienne. Deuxième difficulté est certainement dans la complexité de la transportation du pétrole, dû à l’enclavement du pays qui rend extrêmement difficile l’accès du pétrole kazakh au marché mondial. Cette situation nécessite des accords entre les pays voisins et les pays du transit ce que n’est pas toujours évident à programmer à longterme.

Malgré des difficultés incontestables beaucoup d’entreprises internationales sont venues s’installer au Kazakhstan. La plupart entre elles s’intéressent premièrement au pétrole brut. Différentes solutions (comme CPC –caspien pipeline consortium) ont été mis en place pour faciliter l’acheminement du pétrole.

De plus, Kazakhstan possède des usines de raffinage (tournant actuellement à 50% de leur capacité initiale) qui pourraient proposer le produit fini à faible coût. Il me paraît probable que ce secteur accueillira prochainement des investissements.

Les "non-OPEP" comptent notamment de gros producteurs comme la Russie, la Chine, les Etats-Unis, le Mexique, le Kazakhstan, l'Azerbaïdjan ou la Norvège et fournissent aujourd'hui 60 % du brut mondial. "La production de pétrole conventionnel -hors huiles lourdes et bitumes- atteindra un plafond juste après 2010 , explique Fatih Birol, directeur des études économiques de l'AIE. Le profil de production pour la suite dépendra de la technologie, des prix et des investissements." Peu après 2010 la production devrait commencer à décliner.

Jean-Michel Bezat avec Matthieu Auzanneau

Raffineries

Le secteur de raffinerie n’a pas évoqué grand intérêt de la part des investisseurs, et est resté donc dans la possession de l’Etat. Pourtant, il a une certaine performance. Actuellement, les raffineries locales tournent à 51% de leurs capacités. Les principales usines se situent à Pavlodar, à Atyrau et à Chimkent.

Depuis 2004 Marubeni Corporation (Japan) a commencé la reconstruction de la raffinerie à Atyrau.

Et enfin, TengizChevroil et Chevron Texaco projètent la construction d’une raffinerie à gaz à partir de 2006.

L’EXPORT DU PETROLE

Il existe 4 directions principales :

q       Vers le nord (la Russie) par les pipelines et le réseau de chemin de fer

q       Vers l’Ouest par CPC (capsien pipeline consortium) et barges (Azerbaïdjan)

q       Vers le Sud (les échanges avec Iran)

q       Vers L’Est (Chine) par le réseau de chemin de fer, le nouveau pipeline est en construction actuellement

Le pétrole kazakh entre sur le marché mondial par des voies des ex-républiques de l’union soviétique (Russie, Azerbaïdjan) et de golfe Persique. 

Caspien Pipeline Consortium (CPC)

C’est un pipeline ( 1 577 km de longueur) qui lie le pétrole kazakh avec le port maritime russe à Novorossiisk, la Mer Noire. Le projet a été développé entre les gouvernements russe, kazakh et pays OMAN avec la participation des compagnies internationales. Le pipeline fonctionne depuis le novembre 2001 et prévois l’augmentation des capacités du transit d’ici 2009.  La grande partie de ce pipeline est alimentée par le gisement Tengiz.

Atyrau – Samara

Avant le démarrage de CPC la plus importante partie du pétrole kazakhe partait par ce pipeline en direction de la Russie. Il va certainement perdre son importance dans les années à venir en raison d’augmentation des capacités de CPC.

Kazakhstan- Chine

La construction de ce pipeline a démarré en septembre 2004. La longueur prévue est de 938 km. Ce pipeline va lier Atasu (Kazakhstan) et la ville Alashankou (Chine). La quantité de pétrole brut transmis par ce pipeline fera moins de 5% . Aujourd’hui c’est le réseau de chemin de fer qui assure la transportation du pétrole vers la Chine.

La construction d’un terminal pétrolier est prévu en Iran.

Selon EIA( Energy Information Administration)

Les réserves du pétrole brut de la mer Caspienne sont considérées comme particulièrement importantes en Asie Centrale avec la production de 1.8 million barils par jour. Aujourd’hui le secteur pétrolier rapporte 30 % de revenu au gouvernement  Kazakh et représente 50% d’exportations.

Depuis l’année 2004 le gouvernement a mis en place la nouvelle politique de taxation et la participation dans le revenu pétrolier ( 60% à 65%), l’annulation de la « tax-rate » statique pour les investisseurs à longue terme. Le gouvernement envisage également l’augmentation de la production pétrolière grâce à exploitation des nouveaux gisements « off shore » de la mer Caspienne.

Les Gisements Principaux

Tengiz

Le distributeur du pétrole vers caspian pipeline, Tengiz

Se situe au nord de la mer caspienne. Selon l’analyse de Chevron les réserves de ce gisement sont estimées à 6-9 milliards barils. L’exploitation est menée par ChevronTexaco 50%, ExxonMobil 25%, Kazmunaigaz 20% LukArco 5% depuis 1993. Représente 21% de la production quotidienne du pétrole brut.

Karachaganak

Gaz séparateurs, Karachaganak, Kazakhstan

Se situe près de la frontière russe au nord du pays. L’exploitation de ce gisement du pétrole et du gaz naturel est menée par KIO (Karachaganak Integrated Organisation) – un consortium dirigé par British Gas et ENI (Italie). Karachaganak représente 18% de la production pétrolière brute. Selon l’analyse de British gaz les réserves sont estimées à 2.4 milliards barils ce qui correspond à 40 ans d’exploitation.

Kashagan

Kashagan, Kazakhstan                                        Kashagan en hiver, Kazakhstan 

Un grand gisement  « off shore » au nord de la mer Caspienne. Les travaux d’exploitation sont menés par Agip KCO ( Kazakh North Caspian Operating Company, Eni (Italie)). Les réserves sont estimées de 7-9 à 13 milliards barils. Le démarrage de la production est prévu pour l’année 2008. Le gisement représente multiples problèmes d’exploitation. La proportion de gaz naturel est très élevée, le pétrole contient beaucoup de sulfates, les conditions climatiques sont particulièrement sévères. Après les négociations avec le gouvernement kazakh les parts ont été redistribués –50% Kazmunaigaz et 50%  Agip KCO.

Kurmangazy

Se situe « off shore » à la frontière maritime russe. Le contrat d’exploitation a été signé entre Rosneft (Russie) et Kazmunaigaz. 

Salons, conférences, forums consacrés au pétrole et gaz au Kazakhstan

http://www.eventseye.com/fairs/event_tc4_136_0.html